Détenteur d’un master en éducation aux médias et après un bref parcours en politique au service de l’éducation aux médias, Florian Glibert intègre l’équipe dÉducation Permanente de Média-Animation en 2023. Depuis, il coordonne le Festival A Films Ouverts et les activités de Ciné-débats, est à la co-coordination (TADAM, CLAP!, YAP) ou en soutien (ParentsConnectés) sur différents projets de européens. Ses sujets d’interventions ou de recherche sont les jeux vidéo et les jeux de société, l’économie de l’attention, l’extrême-droite et les questions de diversités. Le tout avec le souci d’une approche critique de l’éducation aux médias en elle-même.
Détenteur d’un master en éducation aux médias et après un bref parcours en politique au service de l’éducation aux médias, Florian Glibert intègre l’équipe dÉducation Permanente de Média-Animation en 2023. Depuis, il coordonne le Festival A Films Ouverts et les activités de Ciné-débats, est à la co-coordination (TADAM, CLAP!, YAP) ou en soutien (ParentsConnectés) sur différents projets de européens. Ses sujets d’interventions ou de recherche sont les jeux vidéo et les jeux de société, l’économie de l’attention, l’extrême-droite et les questions de diversités. Le tout avec le souci d’une approche critique de l’éducation aux médias en elle-même.
Depuis des décennies, la question de la décolonisation – majoritairement portée par des associations antiracistes et le monde académique – traverse la société belge avec beaucoup de résistance. En témoigne récemment le débâcle de la commission « Passé Colonial » au Parlement Fédéral fin 2023 ou les crispations réactionnaires vis-à-vis de la remise en question des hommages architecturaux rendus à la colonisation dans l’espace public. Mais c’est le cinéma belge qui illustre explicitement cette « ignorance qui s’ignore » tant la colonisation belge est coupable de son absence, surtout dans les longs métrages de fictions.
Le projet CLAP ! vise à développer les compétences audiovisuelles d’animateur·rices de groupes d’adultes, afin qu’ils et elles puissent concrétiser un projet de film collectif sur la thématique du racisme et de l’interculturalité. Vous encadrez un groupe d’adultes et souhaitez l’embarquer dans un projet de réalisation vidéo ? Cet outil vous propose une variété d’activités de découverte de l’audiovisuel, de ses techniques et de ses langages.
Découvrir son pays d’origine, explorer son histoire, partir à la recherche de ses racines… pour mieux prendre son envol ? Le cinéma propose souvent au public d’accompagner un personnage déraciné à travers le voyage initiatique d’une recherche d’identité. Ce parcours, à la fois physique et métaphorique, est parfois motivé par un vide ressenti par un·e protagoniste, par la révélation d’un secret familial longtemps caché ou encore par l’inadéquation entre le personnage et son milieu de vie. En offrant une place importante à ce ressort narratif quand c’est l’histoire d’un personnage racisé qui est contée, le cinéma se propose de faire une synthèse, entre l’ici et l’ailleurs, le présent et le passé. Mais que trouvent ces personnages, au bout du chemin ? À Films Ouverts vous propose de leur emboîter le pas.
Que cela soit dans son travail de journaliste, de chroniqueuse, de réalisatrice ou de productrice, l’engagement de Safia Kessas contre les discriminations reflète sa détermination à insuffler plus de diversité dans les médias. Mais qu’entend-on par-là exactement ? La responsable Diversité et Égalité à la RTBF nous explique avec nuance ce que recouvrent ces notions et comment elle travaille chaque jour pour une meilleure représentation des minorités au sein d’un service public.
Défiant la théorie largement partagée qui consisterait à alarmer la population sur le caractère enfermant des réseaux sociaux, les sites de rencontres font exploser les bulles : depuis l’avènement de l’amour en ligne, les couples mixtes seraient de plus en plus nombreux. Mais peut-on véritablement y voir les signes d’une révolution post-raciale ?