Facebook : ami ou ennemi des mobilisations sociales ?

Depuis sa création en 2004, le plus célèbre des réseaux sociaux ne cesse de faire parler de lui. Son impact sur la vie privée, son modèle économique, son rôle politique, social,… les débats qu’il alimente ne diminuent en rien sa popularité. Qu’on l’aime ou qu’on le haïsse, il rassemble plus de deux milliards de profils dont plus de la moitié sont quotidiennement actifs. Dès lors, quand il s’agit de chercher à mobiliser les publics, est-il raisonnable ou même possible de s’en passer ? Et s’il faut l’utiliser : au risque de quels travers ?